Au niveau du sport, allez-vous continuez à développer le complexe sportif rue Pierre Baratin ?
Oui, c’est le stade Boiron Granger. Lors du prochain conseil municipal nous allons acheter le terrain sur lequel sont les installations car c’est l’État qui en était propriétaire. Et pour avoir des aides il faut être propriétaire. Cela va nous permettre de faire des tribunes avec des vestiaires, un coin raquette (tennis et tennis de table). Nous sommes sur des opérations importantes d’investissements dans les années qui viennent. Ce sera un projet important du prochain mandat.
Qu’en est-il du pôle sport-étude au lycée Fays ?
Le lycée relève de l’Éducation nationale. S’ils le font c’est aussi qu’ils sont dans des conditions de territoire, dans une ville où les lycéens profitent des clubs sportifs (basket, rugby, etc.). On va avoir une résidence qui va permettre de loger de jeunes sportifs de haut et moyen niveaux.
L’A.S.V.E.L. est-il une vitrine pour Villeurbanne ?
Le mot de vitrine est un peu réducteur mais on peut l’entendre. L’A.S.V.E.L. est un élément historique et d’identité de la ville. Une vitrine on la change tous les six mois. Ce club, crée en 1948, est un club d’élite qui a réuni un club paroissial et un club laïc. Quand on interroge les gens à l’extérieur de Villeurbanne ils disent que c’est la ville du basket. Pour bien vivre dans une ville, les éléments patrimoniaux (au bon sens du terme), historiques et prestigieux, c’est toujours gratifiant. Même pour ceux qui ne vont jamais voir les matchs ou ceux qui ne vont jamais au TNP. Cela compte d’avoir des éléments de fierté pour vivre dans une ville. L’A.S.V.E.L. fait partie de cela.