Initié par Jean louis Borloo en 2005 alors qu’il était ministre du travail sous la présidence de Jacques Chirac. Ce dispositif devait permettre à chacun et chacune de revenir à l’emploi et un accompagnement sur du long terme. Il visait également de mettre un terme notamment à la discrimination.
L’emploi, une question récurrente
Depuis des lustres, l’emploi est une préoccupation existentielle au sein de la population française. Avant et pour être dans la norme, il fallait un emploi pour le chef de famille. Avant de se marier ou de fonder une famille, la belle famille était regardant sur la situation du futur gendre dans toute société. Le modèle familial a complètement depuis 50 ans et la recherche de sens prévost de plus en plus sur la rémunération. Les temps ont évolué, le gouvernement actuel est obligé de suivre cette lame de fond, qui pousse des milliers de français à changer de métier. Depuis la fin du Covid, beaucoup de français ont changé leurs habitudes concernant leur vie professionnelle. Ayant été confiné pendant un mois et demi, le plaisir et le bien être ont pris le dessus. Toutes les maisons de l’emploi doivent s’adapter à l’évolution de cette nouvelle direction pris par les français.
L’emploi, un secteur qui ne connaît pas la crise
En France, il y a 300 maisons de l’emploi, abreuvés en continue par l’État pour se donner bonne conscience. Comme dit le président de la république avec sa phrase célèbre: « Il suffit de traverser la rue pour trouver du boulot ». Alors pourquoi sommes-nous, obligés d’aller voir certaines structures pour trouver un emploi ou de bénéficier d’un retour à l’emploi si c’est facile. C’est que les emplois précaires sont mis en avant afin de désengorger Pôle emploi ou c’est Maisons de l’emploi et de rassurer les chiffres à qui veut bien l’entendre. Le budget mis en œuvre pour cette année 2023, est en hausse de 6,2 milliards d’euros par rapport à l’année 2022.
Quelques secteurs professionnels sont en tension, notamment le BTP, la pharmacie et le travail à la personne. L’image de ces métiers est reniée par une intelligentsia, qui favorise les métiers intellectuels en dévalorisant les métiers manuels depuis plus de 50 ans, on en voit les résultats actuellement. Alors que les conditions de travail dans ces secteurs d’activité se sont nettement améliorées ces dernières années. Ces métiers sont remis au goût du jour pour que les jeunes les moins jeunes trouvent des perspectives d’avenir