Lancée cette année avec la sécurité Routière, cette opération vise à prévenir les usagers des vélos et trottinettes électriques du respect de la loi, en matière d’éclairage.
Sur le Quai Jules-Courmont, les cyclistes et les utilisateurs de trottinettes non-éclairés sont interpellés par la Police. Rien de grave, il s’agit d’une campagne sur l’utilisation de moyen de visibilité. « Comme des lumières blanches à l’avant et rouges à l’arrière, de gilets réfléchissants jaunes ou de catadioptres : les dispositifs réfléchissants orange sur les roues des vélos« , précise le sous-préfet du Rhône Jean Daniel Montet-Jourdran. Car avec 50 décès liés à l’absence d’éclairage sur les vélos, dont 11 piétons et 1 cycliste, le sujet est « de sécurité nationale », précise -il.
« Une bonne initiative »
Cette opération avec la sécurité routière, ravit les usagers comme Clémence, jeune maman. « Je prends mon vélo tous les matins pour emmener ma fille à la crèche et c’est vrai que certains ne sont pas visibles. C’est une bonne initiative. » Et l’heure de pointe est propice à cette campagne. Aussi, « de nombreux vélos avec sièges enfants, des trottinettes et des véhicules circulent en même temps sur ce carrefour. C’est l’exemple parfait« , assure Jean Daniel Montet-Jourdran. Le confinement à permis de découvrir ou redécouvrir les joies de vélos. Or, lorsque la nuit tombe plus tôt, il faut s’éclairer. Ainsi, le non-respect de l’éclairage sur les vélos peut aller de 11 à 38 euros.