Organisé par des étudiants du Gaming Campus de Lyon, le marathon caritatif A-Live est une première. Le but est de récolter des fonds pour la Fondation Analgesia, seule fondation de recherche dédiée à l’innovation pour soulager la douleur en France.
Sur le modèle du Z event, le marathon caritatif A-Live a choisi d’allier jeux vidéo et la cause des douleurs chroniques. L’événement est une première pour la Fondation Analgesia, qui essaie de visibiliser la lutte contre les douleurs chroniques, lutte encore méconnue du grand public.
Un marathon de 52h non-stop
Intégralement diffusé sur la plateforme de jeux vidéo Twitch, l’événement A-Live sera 100% numérique. Les étudiants du Gaming Campus de Lyon prévoient un stream de 52 heures d’affilées, dans les locaux du campus, avec une multitude d’activités : émissions, interviews, talk-shows, jeux en équipe et le « cover de l’E3 » (Electronic Entertainment Expo, le salon de jeux vidéo à Los Angeles) par un journaliste sont au programme. 16 streamers seront sur place dont Trinity, Benzaie et Xerackk et d’autres seront en direct depuis chez eux. Leurs objectifs ? Gagner face à leurs adversaires, en équipe, et remporter un maximum de dons pour la Fondation Analgesia.
Les douleurs chroniques : une lutte encore méconnue
En plus de récolter des fonds pour Analgesia, l’autre objectif d’A-Live est de sensibiliser aux douleurs chroniques telles que l’endométriose, l’arthrose ou même le mal de dos. Encore très peu connue, la douleur chronique est une « douleur permanente, subie pendant au moins 3 mois consécutifs« , selon le site de la Fondation. Elle forme pourtant un enjeu majeur de santé publique. Selon la Fondation Analgesia, plus de 10 millions de Français en seraient atteints et 1 patient sur 3 souffre de douleurs chroniques malgré les traitements. L’innovation scientifique au sujet des douleurs chroniques est en suspens, depuis plus de 50 ans.
Les étudiants du Gaming Campus vous donne rendez-vous dès vendredi 11 juin à 18h et durant tout le week-end sur la chaîne d’A-Live event.
Kenza Sammari et Inès Apetovi