Hier soir, Jean-Michel Aulas a tenu son premier meeting au H7 situé au 70 quai Perrache, Lyon 2ème dans le fief de Pierre Olivier maire (LR du 2ème arrondissement). Retour sur une semaine pleine d’espoir pour la droite et le centre-droit lyonnais.
Il est 19h ce vendredi, Jean-Michel Aulas monte sur l’estrade du H7, rejoint son pupitre. La voix un peu tremblante avec le visage rempli d’émotion. Il prend la parole face à un public conquis à sa cause. C’est dans le fief du maire Pierre Oliver qu’hier soir après plusieurs mois de tractations, Jean-Michel Aulas tient son premier meeting politique. Depuis deux jours, l’ancien président de l’Olympique Lyonnais a décidé de rentrer dans la campagne municipale lyonnaise de 2026. Tout le socle commun était présent: LR, Horizons et Renaissance.
Un premier examen oral attendu de Jean-Michel Aulas
Pour guider ses troupes vers la prochaine victoire potentielle de la prochaine élection municipale, l’ancien président de l’Olympique commence son discours en demandant qu’on lui confie les clefs de la ville de Lyon. Il ne souhaite appartenir à aucune famille politique, pour jouer la carte du rassemblement. Il souhaite élargir son électorat au centre-gauche indispensable pour gagner le prochain scrutin municipal. Il remercie également ses proches pour leur soutien indéfectible. 1200 personnes étaient présentes hier notamment avec la venue d’anciens élus comme Thomas Rudigoz, Yann Cucherat issu de la génération 2014 de Gérard Collomb. Ambroise Méjean est également présent. Tous les élus issus des Républicains et Horizons, comme Béatrice de Montille, conseillère d’opposition municipale (LR) proche de David Lisnard, elle fait également partie du bureau national des Républicains, Pierre Olivier également présent. Le sourire ne le quitte plus depuis la candidature officielle de Jean-Michel Aulas, pensant en catimini, devenir le prochain maire de Lyon.

Trois partis politiques recherchent en ce moment une idole comme les lyonnais avec la candidature de Jean-Michel Aulas. On revit le deuxième tour des municipales 2020, ou justement Gérard Collomb à l’époque avait fait une alliance de circonstance avec Laurent Wauquiez, qui était partie en eau de boudin, car toute l’aile du défunt maire avait quitté le navire, n’acceptant pas à l’époque l’alliance avec le leader des Républicains, Laurent Wauquiez.

Une campagne politique c’est long. La politique est un terrain compliqué, il faut savoir rassembler, naviguer en eaux troubles, et être un leader charismatique pour un parti et également une figure de proue pour les lyonnaises et les lyonnais. La politique n’est pas un terrain de jeu facile pour les novices. L’aventure des municipales 2026, risque d’être passionnante ou pas … Réponse le 22 mars 2026.




