Ce jeudi 4 mai, Clément Charlieu a été investi part l’UDI (Union des démocrates et indépendants) pour candidater aux législatives sur la 6ème circonscription.
Clément Charlieu se présente comme candidat aux législatives sur la 6ème circonscription de Villeurbanne, avec le parti de centre droit UDI (Union des démocrates et indépendants). Ce Villeurbannais, ancien candidat aux municipales à Villeurbanne, vient d’annoncer sa candidature ce jeudi 5 mai lors d’une conférence de presse, où il a présenté ses projets. Il souhaite par exemple amener de nouvelles lois pour aider les citoyens et la planète, en se battant pour une transition écologique.
Une volonté d’indépendance
Directeur opérationnel du World Trade Center à Lyon, Clément Charlieu a étudié le business et le marketing, et envisage d’exploiter ses compétences dans la politique. Cet homme d’affaires défend le parti UDI et se positionne « contre les extrêmes ». C’est pour lui « une volonté de ne pas être asservi ou soumis à des dictats ». Il ajoute également : « Je serai constructif, je défendrais le centre et serai un député indépendant, pour siéger à l’Assemblée nationale ». Était également présent Christophe Geourjon, président UDI du Rhône, conseiller régional en Auvergne et conseiller métropolitain, pour soutenir son « ami » et ses idées. « Clément, ça fait des années qu’il assure le terrain à Villeurbanne avec son équipe », déclare-t-il.
« Je souhaite être le député de la dignité »
Le candidat en a profité pour donner des précisions sur ses futurs projets : « Je souhaite être le député de la dignité ; la vie est devenue compliquée au niveau de l’insécurité et je veux que chacun vive dans la dignité avec un toit et un emploi ». Le terme revient plusieurs fois dans son discours : la dignité dans le logement et dans l’emploi, la dignité pour les personnes âgées, pour les femmes et les personnes en situation de handicap. Clément Charlieu souhaite amener plusieurs changements sociétaux, dont des aides aux logement et des propositions de lois pour les bailleurs sociaux. Il évoque aussi des aides aux emplois pour « protéger des professions que l’on supprime et remplace par de la technologie ou pour valoriser des entreprises qui s’inscrivent dans une démarche d’industrie circulaire ».
L’occasion également pour lui de parler d’économie : « Nous avons besoin de nous reposer sur des valeurs très concrètes dont la préservation du pouvoir d’achat ». Il s’attarde ensuite sur le sujet de l’écologie et explique qu’il veut lutter « pour une transition écologique ». Lutter contre la précarité et contre le gaspillage alimentaire font aussi partie de ses projets déjà en cours et qu’il compte rendre indispensables s’il remportait l’élection. « Je ne suis pas encore élu aujourd’hui, mais si je le suis, je disposerai de moyens plus importants et je pourrais accélérer le changement ».
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