Les élections municipales à Lyon, comme à Paris et Marseille, se déroulent par arrondissement (par secteur concernant Marseille). À Lyon, chaque arrondissement est doté d’un conseil élu qui désigne un maire. Cette année, la loi prévoit que les conseillers communautaires (représentant les communes au sein des communautés urbaines) sont élus en même temps par un vote et pour la même durée – six ans – que les conseillers municipaux. Concrètement, le bulletin de vote contient les deux listes : une pour les conseillers communautaires et une pour les candidats à la mairie. Les conseillers d’arrondissements siègent au conseil municipal selon une répartition proportionnelle et en fonction de l’importance démographique de l’arrondissement. C’est le conseil municipal qui élit le maire de la ville. Lyon compte 221 conseillers d’arrondissements dont 73 conseillers municipaux. L’enjeu des municipales à Lyon n’est donc pas forcément la mairie centrale (que Gérard Collomb est bien engagé à remporter pour un troisième mandat consécutif) mais plutôt la présidence du Grand Lyon, que la droite espère rafler. Pour cela, il faudra que l’UMP-UDI reprenne certains arrondissements comme par exemple le troisième et le cinquième.
Le 1er arrondissement ets classé en Zone Urbaine Sensible (ZUS). Il a été le lieu de l’affontement entre la maire d’arrondissement, Nathalie Perrin-Gilbert, et Gérard Collomb.
– Le collège Truffaut
Le collège est actuellement videctuellement vide, l‘UMP veut y developper une auberge de jeunesse. Le Front de Gauche y veut une maison associative et des crèches.
– Des remontes pentes
L’UMP souhaite une remonte pente, qui partirait du bas des pentes pour arriver au plateau de la Croix-Rousse. Ce système serait composé d’un sabot, dans lequel la roue de son vélo, et et qui nous remonte sans effort à la manière des remontes pentes de ski. EELV est contre ce projet et veut créer un ascenseur vers le grand tunnel routier de la Croix-Rousse.