par Depuis le 1er avril et jusqu’au 30 juin 2024, Mini World à Vaulx-en-Velin accueille Japan Mania, une exposition sur la pop culture japonaise. Nintendo, One Piece, Pokémon ou encore les Studios Ghibli, cette expo retrace l’histoire de ces œuvres avec des projections et des activités.
Lorsqu’on rentre dans la salle d’exposition, on a un accès libre à plusieurs bornes d’arcade où on peut jouer à Mario Kart, Tetris ou Donkey Kong. On retrouve aussi une authentique NES (Nintendo Entertainment System) avec la cartouche de Mario Bros. Derrière, une grande frise chronologique retraçant l’histoire de Nintendo et de leur égérie Mario, de 1977 à aujourd’hui.
À deux endroits distincts de l’exposition, on retrouve de création miniature originale. La première est une reproduction de la piste de Mario Kart, avec le château de Peach et une course de kart qui se déroule en live sous nos yeux. L’autre reproduction est un mélange de plusieurs références de plusieurs œuvres : le Vogue Merry de One Piece, la salle du temps de Dragon Ball ou encore le robot de Goldorak.
Aux quatre coins de l’exposition, sont disposés deux écrans géants sur lesquels sont projetés des extraits d’animés : One Piece, le voyage de Chihiro, Sailor Moon…
Au fond de la salle, se trouve une activité pour enfants qui peut aussi attirer les grands. On peut colorier des Pokémon, et avec un QR code sur la feuille, le coloriage prend vie en 3D sur un troisième écran géant.
Une création originale
Martin qui travaille à Mini World depuis presque 3 ans, nous en dit plus sur la Japan Mania : « On a déjà fait des expositions auparavant comme Jurassic Park, ou Lego. Cette année, la Japan Mania, est une création originale de Mini World. Les précédentes demandaient trop de travail logistique. Cette idée vient de l’un des deux dirigeants de mini world qui a travaillé dans la vente de jeux vidéo, passionné de culture japonaise. Ces 10 dernières années, la culture japonaise revient aussi un peu à la mode. C’est l’occasion d’attirer les connaisseurs et de faire venir les curieux ».
Julien CHATRE-DIAS
